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1184. Cela fait maintenant trois ans que la guerre dure, occasionnant ravages autant sur le plan humain qu’économique. A la tête de l’Empire d’Adrestia, Edelgard von Hresvelg a provoqué un bouleversement majeur en Fodlan. Pourtant, à l’aube de la nouvelle année approchant, l’Impératrice elle-même a demandé un accord de pourparlers...
Sujet: (1180) scandale royal (linhardt) Ven 3 Sep - 2:51
It was a dangerous journey. The sandstorm raged. I didn’t even know if I was alive. Still, I’ll go through anything for you. Atop the cold sand, I was alone.
کنجد را باز کنید
La nuit est frileuse aux plus chaleureux d'entre eux. A une heure pareille, seuls ceux qui délaissent leur santé veillent. Il n'est évidemment pas de ceux-ci, s'étant rangé timidement plus tôt dans les bras de son douillet lit. Si tôt levé pour faire ses exercices de méditation, Claude se trouvait fort vite de fatigue épris. Il dirait que c'est les conséquences d'être doté d'un tel génie, de cette façon qui implicitement quémande qu'on ne pose pas de questions. Lorsque ne se présente pas pour lui l'opportunité de piquer un somme dans la forêt - comme lorsque qu'archère détériore la nature en tirant frénétiquement sur des fruits - il trouvait refuge dans sa chambre, s'il ne se faisait pas agresser de trop tôt se reposer parce que son nom ne l'en rend pas digne.
Comme si son titre était justification pour santé consciemment dégrader, comme s'il était plus honorable de se détruire au nom d'ambitions ou de principes. S'il tombe, de fatigue, comme tout court, il n'y a plus rien. Il n'érigerait la mort de personne comme honorable, sacrifices sont des pertes, perte rime avec défaite. Cerf s'abimait sans se rendre compte, perdait conscience du temps, de l'espace, de l'enveloppe charnelle dessinant les contours des limites physiques qui l'entourent. Toutefois, pour chacun de ses excès d'hubris, le repos s'en suivait de suite. C'est avec les cernes inexistantes qu'il se présente tard à la bibliothèque. Il croise Tomas à l'entrée, regards s'échangent, banalités.
Peu de monde, on dirait. Ses talons font craquer le bois, trop précautionneux pour salir la carpette rouge à l'entrée. Claude vient ici bien souvent, oui. Pas vraiment à la même heure. Curieux de dévorer les contenus de la trésorerie au savoir devant ses yeux. Son temps était limité, comme au commun des mortels, ainsi il emprunta une quantité importante de livres qu'il ne réussit pas à finir. S'enivrait de leur odeur dans le nid et l'intimité qu'il entretint dans ses appartements. A la recherche de contradictions, quand cerf n'était à la recherche d'instructions pour déchiffrer équations qu'on lui assigne.
Que toute entrée d'ouvrage était par l'église contrôlé était évidence, dogme s'illustrait tel. S'il s'étend aussi puissamment dans l'ensemble du continent, c'est par renforcement de par chaque membre de l'autorité le représentant. Cœur même de l'archevêque ne tolèrerait une erreur dans les contenus instructifs. Seulement Claude ne voulait pas seulement s'abreuver de ce qu'on souhaitait lui apprendre, il souhaitait tout s'accaparer, l'interdit, l'inédit.
De chez lui, tout ce qu'il lit de cette Déesse ne rime à rien.
C'est l'attention attentive qu'il porte à son entourage, un chevalier dans les parages. Tourné de trois quart par rapport à lui. Il comptait également dans sa mémoire ses détails qui saisirent son attention, si sèchement qu'il en fit privé sa respiration. Des ouvrages à leur portée qui pourtant si ne serait-ce qu'effleurés valaient le courroux des chevaliers de Seiros. S'il se souvenait exactement, le livre en question se trouvait derrière une étagère dans le fond, elle était visible depuis l'entrée.
D'habitude au moins trois ou deux chevaliers se trouvaient ici. Certainement que l'heure jouait dans la raison pour laquelle ce n'était pas le cas ici. Il lui faudrait trouver un stratagème. C'est avec attention qu'il observa ce qu'il se tramait autour de lui. Le peu des élèves ici étaient concentrés, il pouvait s'en servir.
L'une d'entre elle avait laissé sa plume dans un encrier, la tête dans les parchemins et les papiers.
Un tour de main et...
Excusez-moi, Elle lève la tête vers lui, et le parchemin qu'il lui tend. Je crois que c'est à vous ?
Oh, merci beaucoup ! Je n'avais même pas vu. Les sens en eveil, le regard direct, la maladresse dans les mouvements - il y a quelque chose.
Elle regarde ses affaires. Confusion la peint, agitation mène la danse. Il regarde faire.
Y'a-t-il un souci ?
Aucunement, j'ai- euh- tout va bien, ne vous inquiétez pas. Le visage délicat, le comportement à se plier pour les autres - disparaitre pour ne pas causer de souci. Rien ne lui préoccupe lui, même pas un pincement d'agonie.
Je pense que si vous avez un problème il serait important de le signaler. Tomas n'est pas là, peut-être pourriez vous vous tourner vers le garde à la place.
Et honnête comme le sont les bons gens, l'éclat dans leur yeux jamais ne ment. La nature est équivoque à la jeunesse dans les mirettes, il n'aurait jamais fais l'erreur de s'adresser à un cerf ou une biche, sous peine qu'on se soit renseigné sur son apparition ou qu'on doute de ses origines. Et ainsi Claude se fond loin de la mascarade, fait demi tour pour avoir la vue et maintenant la main sur l'étagère qui l'intéresse lorsqu'il n'est plus cible de regard.
Un effort - l'oeil sur l'élève et le garde, ce qui se trame. Il espère qu'il n'est pas grognon et médire de la jeune fille propension à la perte. La Très-Haute n'accepte-elle point l'amour, l'affection, la joie, la paix, la foi, la bonté, l'autonomie, l'humilité, la persévérance ? Qui est cet homme pour refuser cela ? Cerf remettra la plume au sol plus tard, quand il mettra la main sur ce qu'on lui interdit d'entrevoir.
Un index sur les familles éminentes de l'Empire.
Il entendit parler d'une insurrection il y a voilà des années, une révolution par de l'empire les comtes qui n'a pas abouti à leur exécution, malgré le pouvoir toujours important de l'Empereur. Sa fille même se présentait à l'Académie sans la moindre stupeur, accompagnée par fils et filles des familles l'ayant trahi.
Sujet: Re: (1180) scandale royal (linhardt) Mar 7 Sep - 13:08ft. chaude de ta régionsandale royale
Claude von Riegan
Alliance de Leicester
Inventaire :
arc empoisonné (+) -
Emblème :
Mineur Riegan
Classe :
Prince céleste
Camps :
Neutre
Anniversaire :
24/7 (La Céruléenne)
Métier :
Chef de l'Alliance et duc
Rank S :
votre moitié
Ecus :
595
Unité :
Mode de Jeu :
Niveau :
20
Inventaire : arc empoisonné (+) -
Emblème : Mineur Riegan
Classe : Prince céleste
Camps :
Neutre
Anniversaire : 24/7 (La Céruléenne)
Métier : Chef de l'Alliance et duc
Rank S : votre moitié
Ecus : 595
Unité :
Mode de Jeu :
Niveau : 20
EXP: 00000
Sujet: Re: (1180) scandale royal (linhardt) Dim 12 Sep - 18:35
Maintenant, bourre ton pistolet de tes envies. Ne te contente pas de tout détruire et de l'emporter. Je te laisserais tirer avec mon revolver, briser mon masque
sans rancune, sans coeur
Imprévu prend l'allure d'un aigle noir. Présage se calfeutre du cerf même l'attention, cette dernière rivée sur la proie qu'il a jeté au gardien de ces secrets la maison. Maladresse a raison d'eux, rend conscience de son entourage au délégué. Garde aboie, mais pas assez qu'il délaisse l'objet sa convoitise. La liure entre les doigts glisse aisément, pour disparaitre dans sa vareuse. Tout sourire lui sied à merveille, des excuses adressées claires de ses lèvres, rapides - histoire que son visage face preuve de distraction.
Sujets à l'autorité, Linhardt et lui circulent bien vite - des souris chassées sans pour autant revenir les mains vides. Claude voit que le garde les surveille toujours, les toise même - suspicieux. Cela dure une minute ou deux, l'hésitation de les confronter ou non, certainement. C'est finalement épris des propos de son interlocutrice que méfiance disparait, Claude se permet enfin de respirer. Il n'entend pas leurs paroles quand bien il aurait aimé, tues du silence religieux qui accommode la bibliothèque. C'est à ce moment que Linhardt murmure ses propos.
Main droite du délégué dépassait de l'intérieur de son uniforme, avec ça un extrait du titre de l'ouvrage dont il voulait se dérober le savoir. Ses doigts glissent le long du dos du trésor dérobé, fait découvrir la suite du titre - les lettres qui y sont figées. S'il avait vu, il était inutile de maintenant s'en cacher.
Ce ne sont pas ces propos qui le trahirait, ceci dit, jamais.
Rien d'inhabituel, vraiment. Je suis la pour m'instruire. N'est-ce point également la raison pour laquelle vous vous y rendez ?
On félicite au Hevring un intellect délectable. Celui qui passe par les non dits d'une conversation ou, pour les fois où ils eurent la chance de fréquenter les mêmes cours - la raison qui déborde des trop petits bols servant de crâne a ses interlocuteurs, incapables de retenir les informations que l'aigle distribuait.
Il était difficile à saisir, comme lorsqu'on s'éprend d'attraper de l'eau qui file entre ses doigts. Linhardt était consciencieux comme lorsqu'on parle d'égoïsme. Adulait tout ce qui éveillait curiosité. Ainsi fut il que Cerf fit l'objet de son intérêt au mauvais moment.
Ne pouvait il point être intéressant que lorsque cela l'arrange? Enfin, l'attention flatte comme elle dérange - l'audace lui aura causé des tords et gâché son comfort. Il n'allait démordre, peu sur de ce que ferait l'aigle avec ce qu'il a vu ou pas vu.
C'est d'un regard rapide qu'il trouve qu'il n'était le seul à avoir rangé un livre près de son coeur. Risque c'était transformé soudain en gain intéressant. Il lui faut savoir, c'est évident.
Après tout vous avez contre vous certainement un livre très intéressant.
L'a-t-il saisi au même étage que lui ? L'opportunité d'enthousiasme l'enlie.