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1184.
Cela fait maintenant trois ans que la guerre dure, occasionnant ravages autant sur le plan humain qu’économique. A la tête de l’Empire d’Adrestia, Edelgard von Hresvelg a provoqué un bouleversement majeur en Fodlan.
Pourtant, à l’aube de la nouvelle année approchant, l’Impératrice elle-même a demandé un accord de pourparlers...

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Mantra du guerrier n°4 : À toute occasion, s'informer et s'entraîner [Flèche & Elio]

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Adèle von Mehenliez
Adèle von Mehenliez

Empire d'Adrestia
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Mantra du guerrier n°4 : À toute occasion, s'informer et s'entraîner [Flèche & Elio] Kdo poupée Sothis (x1)
Emblème :

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Camps :

  • Neutre
Anniversaire :

29 Lune de la Harpe
Métier :

Capitaine de l'armée d'Adrestia
Rank S :

ح(•̀ж•́)ง †
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840
Unité :

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Mode de Jeu :

Classique
Niveau :

20
Inventaire : Mantra du guerrier n°4 : À toute occasion, s'informer et s'entraîner [Flèche & Elio] Kdo poupée Sothis (x1)
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Classe : Enchanteur
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Anniversaire : 29 Lune de la Harpe
Métier : Capitaine de l'armée d'Adrestia
Rank S : ح(•̀ж•́)ง †
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Mode de Jeu : Classique
Niveau : 20


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MessageSujet: Mantra du guerrier n°4 : À toute occasion, s'informer et s'entraîner [Flèche & Elio]   Mantra du guerrier n°4 : À toute occasion, s'informer et s'entraîner [Flèche & Elio] EmptyDim 6 Juin - 18:09
Un pacte de non-agression, une transition entre deux états de guerre dans laquelle ils étaient aujourd’hui plongés jusqu’au cou, sans bien savoir de quoi demain serait fait. Une certitude pesait toutefois dans le cœur des guerriers, et étranglait les mères qui auraient bien ramenées leurs enfants survivants contre elles : les combats continueraient. Que ce soit contre des Faerghusiens, contre l’Alliance, ou contre des forces dont ils ne saisissaient pas encore les contours, ce n’était pas fini, et l’issue du conflit devenait plus incertaine, et lointaine, au fur et à mesure que les lunes passaient.

Adèle avait sincèrement cru qu’ils touchaient le bout de quatre années terribles, mais ce pacte brusque et soudain signait le glas de cet espoir.

Il était difficile de préserver le moral des troupes et de tempérer la lassitude de la population, car quel sens trouver à tout cela ? Les conditions d’existence ne s’étaient pas améliorées, et moult vies étaient perdues à jamais. Chacun établissait son pronostic de survie - tous ne mesurait pas la chance d’être encore là.

Elio ? Venez. Son regard bleu enveloppa la silhouette du garçon, un enfant pour celle qui avait vu les années passer et l'abîmer, acide qui creusait le coin de ses yeux et asséchait ses mains. Il lui avait dit avoir dix-huit ans, elle lui en donnait deux de moins, avec sa petite stature et son visage rond, encore doux et innocent. Elle s’était bien sûr gardée d’en faire état - même si elle n’avait pas eu de rejetons elle-même, elle n’ignorait pas leur susceptibilité. Elle était, après tout, l’aînée de cinq Mehenliez. Avez-vous déjà vu Enbarr ? Si nous en avons le temps, nous passerons à l’opéra de Mittlefrank. C’est une splendeur. Elle doutait, néanmoins, qu’ils puissent s’attarder où que ce soit.

Elle n’était pas heureuse d’avoir quitté Caer Dathyl, leur camp sur Arianrhod. Elle ne goûtait pas vraiment aux bienfaits de la trêve, craignant une attaque sournoise, et n’était donc pas sereine à l’idée d’abandonner leur position, ses hommes, et le Général Bergliez. Contrainte, elle s’y était résignée pour appréhender le climat de la capitale, glaner des informations et, peut-être, elle l’espérait, se rassurer quant à l’issue des pourparlers qui allaient être engagés. C’est, en tout cas, ce que racontait la rumeur. Les informations ne circulaient pas aussi bien qu’ils ne le voudraient sur le front, malgré les bons services de messagers comme Elio.

Elle lui avait demandé de l’accompagner pour pouvoir lui confier des informations cruciales, si elle parvenait à en obtenir, qu’il pourrait amener au plus vite auprès de Caspar von Bergliez. Elle ne faisait pas confiance aux petits coursiers qui trainaient à Enbarr, et dont la seule loyauté était acquise par la bourse. Or, on trouve toujours plus riche que soit, dans les riches quartiers de l’Empire.

D’un pas décidé et claquant, de femme qui a guerroyé des mois durant, elle s’avança jusqu’au bâtiment administratif qui centralisait les opérations militaires adrestiennes. Elle n’espérait pas obtenir de nouvelles fraîches du premier quidam venu, que son statut d’héroïne de guerre ne ferait pas lever un sourcil, mais avait l’intention de trouver un visage connu : plus exactement, elle espérait apercevoir le gentil minois d’une certaine Flèche portant le nom du Général. Elles avaient eu l’occasion de se connaître quand celle-ci officiait à Fort Merceus - Adèle y avait fait halte une poignée de jours fin 1183, et n’avait pas manqué de vouloir rencontrer la tante de l’homme qui les guidait. Elle n’avait pas été déçue par ce petit bout de donzelle aux convictions ancrées, patriote, l’envie de bien faire greffée au cœur. Elle lui avait promis de s'entraîner avec elle, mais n’avait pu honorer sa promesse depuis.

J’ai oublié de vous le mentionner. Nous cherchons une jeune femme du nom de Flèche von Bergliez. Elle ne doutait pas que ce nom ferait écho chez lui. Nous venons prendre de ses nouvelles… Et pas que. Et si nous en avons le temps, je lui avais promis que nous croiserons le fer. Vous devriez d’ailleurs participer, ces bras vous en seraient reconnaissants. Souffla-t-elle, non sans taquinerie, les yeux posés sur les biceps d’Elio. Elle l’avait vu quelques fois une lame à la main, et s’il n’était pas dénué de talent, il était trop impatient pour accepter de progresser pas à pas. Vous voulez bien m’aider ?
Elio Albany
Elio Albany

Empire d'Adrestia
Inventaire :

Mantra du guerrier n°4 : À toute occasion, s'informer et s'entraîner [Flèche & Elio] Kdo poupée Sothis (x1)
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Anniversaire :

26 Lune du Pégase
Métier :

Pigeon Voyageur pour l'Armée
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Mantra du guerrier n°4 : À toute occasion, s'informer et s'entraîner [Flèche & Elio] WrDbukh
Mode de Jeu :

Classique
Niveau :

5
Inventaire : Mantra du guerrier n°4 : À toute occasion, s'informer et s'entraîner [Flèche & Elio] Kdo poupée Sothis (x1)
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Classe : Épéiste
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Métier : Pigeon Voyageur pour l'Armée
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Mode de Jeu : Classique
Niveau : 5


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MessageSujet: Re: Mantra du guerrier n°4 : À toute occasion, s'informer et s'entraîner [Flèche & Elio]   Mantra du guerrier n°4 : À toute occasion, s'informer et s'entraîner [Flèche & Elio] EmptyDim 6 Juin - 20:45

Voyager n’avait jamais été quelque chose qu’il se serait imaginé aimer plus jeune. Avant la guerre, il n’avait connu que le village de Garreg Mach et son imposant monastère dont les habitants étaient aussi chaleureux que ses murs étaient froids. Il était facile pour les cœurs les plus aventureux de chercher à s’envoler vers ses lieux majestueux décrits seulement dans les livres de la bibliothèque, mais Elio n’a jamais été quelqu’un de particulièrement courageux.

S’il ne manquait ni de rêve ni d’ambition, la stabilité était quelque chose qu’il avait toujours recherché. L’idée de s’ennuyer ne lui avait jamais plu, mais un quotidien sûr et prévisible avait quelque chose de suffisamment chaleureux pour toujours lui donner le sourire aux lèvres quand il y repensait désormais. Avec une telle mentalité, il est bien curieux de se dire comment le jeune homme pouvait encore s’en tirer au vu de l’atmosphère de vie actuelle du continent, l’incertitude planant au-dessus de chacune de ses nations alors que le calme apporté par l’arrêt des batailles en fait encore trembler plus d’un.

Quelle que soit sa situation, Elio était déterminé à l’idée de la garder sous contrôle. Chance ou instinct, en tout cas, c’était bien cette raison qui le poussa à se retrouver là où il est aujourd’hui.
Yeux rivés sur les bâtiments anciens se dressant tout autour de sa personne et de la silhouette de celle qu’il suivait en silence à une distance respectueuse, le jeune homme ne savait pas s’il devait trouver la ville changée ou non depuis son dernier passage.


Quelques fois, oui… Mais ce fut toujours bref.



Son plus long séjour ici fut lors de sa première visite. C’était très peu de temps après l’attaque du monastère suite à la déclaration de guerre contre l’église de la part de la jeune impératrice aujourd’hui encore au pouvoir. Le groupe de marchand avec qui il avait quitté en urgence le monastère s’était établi ici initialement, espérant commencer à se reconstruire au plus proche de leurs fournisseurs et autres contacts locaux (s’il se souvenait bien, c’était Enrick qui lui avait soufflé être justement originaire d'Enbarr).

Malgré lui, il laissa la curiosité et l'intérêt soudainement animer son visage à la mention du nom du plus célèbre opéra de la nation. Si l’idée de mettre un jour les pieds dans cet illustre lieu lui faisait briller les yeux, le seul fait d’imaginer le prix qu’une seule de ces prestations pouvait demander lui donnait envie de pleurer d’envie. Le jour où il serait plus riche…

Mais lui-même savait que ce n’était pas pour faire du tourisme que la capitaine l’avait invité à la suivre jusqu’à la capitale. Il n’avait pas eu besoin de poser plus de questions que ça, rien que le fait que sa présence puisse être requise dans ce déplacement ne pouvait que lui souffler des bonnes choses pour lui. Un simple déplacement d'intérêt, comme beaucoup d’ailleurs. Guidé par la silhouette de son aînée et supérieure, il reconnut d’un simple coup d’œil le bâtiment administratif de la zone… Uniquement car il avait déjà eu l’occasion de s’y rendre plus d’une fois.

Quand la voix d’Adèle s’éleva une fois de plus, il leva un regard curieux vers elle. S’il ne l’avait pas questionné, il était bien vrai que lui-même avait arboré un minimum de curiosité quant aux détails derrière leur présence ici.


Flèche ?



Oh, c’était sortit tout haut ça. Immédiatement dans son esprit, apparut un visage drôlement sérieux d’une jeune fille d’à peu près son âge… Quel souvenir il avait d’elle. Fallait dire, elle lui paraissait toujours très carrée, ou juste constamment débordée de travailler. Quand il y repensait, il ne savait pas s’il devait la plaindre ou plutôt l’admirer. Lui aussi serait heureux de prendre de ses nouvelles, tient. Elio espérait qu’elle aille bien (et que depuis la dernière fois qu’il avait pu la croiser, elle ne s’était pas encore noyée sous le travail.).


I-ils sont très bien mes bras… Ils apprécient justement le repos que je leur offre ces derniers temps.


Comment manquer ce regard évident dans sa direction. Ce qu’ils avaient pu justement crier à l’époque lorsqu’il avait justement appris les bases du maniement de la lame à une main. Instinctivement, il vint serrer un peu plus contre lui ses vêtements de voyage comme pour cacher sa musculature inexistante et ainsi ne faire que confirmer ces propos précédents.
S’il avait quelque peu marmonné ces dernières paroles dans sa barbe qu’il n’avait pas, il hocha la tête à la suite avec une honnêteté qui le caractérisait bien.


Avec plaisir. Je ferai de mon mieux.



S’il était bien loin de se considérer comme le partenaire idéal lorsqu’il était justement question de croiser le fer, sous le regard attentif d’une femme aussi expérimenté que la capitaine face à lui, ce ne serait jamais une perte de temps... Aussi, c'était toujours bon de faire bon impression face à des femmes de rang.
Flèche von Bergliez
Flèche von Bergliez

Empire d'Adrestia
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Soldat
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23 Lune de la Solitaire
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Mantra du guerrier n°4 : À toute occasion, s'informer et s'entraîner [Flèche & Elio] Df2724e979cd4f4ff446
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Unité : Mantra du guerrier n°4 : À toute occasion, s'informer et s'entraîner [Flèche & Elio] Df2724e979cd4f4ff446
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MessageSujet: Re: Mantra du guerrier n°4 : À toute occasion, s'informer et s'entraîner [Flèche & Elio]   Mantra du guerrier n°4 : À toute occasion, s'informer et s'entraîner [Flèche & Elio] EmptyLun 7 Juin - 17:14
On penserait sans doute qu’un pacte de non-agression signait aussi un arrêt temporaire de travail pour quiconque se trouverait en arrière des lignes de front. Flèche pouvait clairement témoigner que ce n’était pas le cas ; la pile de documents proprement entassés sur la table en bois de chêne devant elle en était la preuve.
Non pas qu’être agent administratif de l’armée Impériale était une position se portant comme un fardeau sur ses épaules. Le combat que Sa Majesté menait contre la corruption de l’Eglise s’imposait dans l’esprit de ce bout de femme comme la vérité absolue, celle dont Fòdlan ne pouvait détourner les yeux maintenant que l’Impératrice avait mis en lumière les agissements passés de ces prétendus hommes de foi. La division de l’Empire en deux autres factions pour mieux pouvoir contrôler le continent en était un parfait exemple.

C’est donc tout naturellement que Flèche quitta sa vie paisible auprès de sa mère pour s’engager dans l’armée Adrestienne, en fin 1183, quelques années après son grand frère Randolph. Résolue à combattre sur le front, plusieurs obstacles s’étaient cependant mis sur son chemin ; son jeune âge, son inexpérience au combat, et le fait que son frère ne la laisserait pas s’approcher d’un champ de bataille de sitôt. Pas question cependant pour elle de faire marche arrière. Alors on lui trouva une place là où on savait qu’elle ne serait pas en danger. C’est ainsi que sa vie commença à se résumer à un espace de travail confiné entre quatre murs, des horaires tous les jours chargés et une montagne de papiers à remplir. Seul son bon sens de l’organisation lui permettait de s’y retrouver ; ainsi, elle savait où devait se trouver quoi, quand faire telle chose pour maximiser l’efficacité de son travail et comment s’y prendre pour éviter tout débordement. Il lui fallut quelques jours seulement pour trouver un rythme, et ainsi le reste suivi tout seul.

Bien sûr, l’administration de l’armée restait un travail important ; si elle pouvait se rendre utile auprès de Sa Majesté en s’occupant des tâches les moins attrayantes, cela lui convenait parfaitement. Du moins, presque. Ce serait mentir de dire qu’elle ne regardait pas parfois les soldats couverts d’armures, arme fermement tenue entre leurs doigts, avec envie quand ils marchaient dans les rues d’Enbarr. Eux partaient se battre pour leur patrie, abattre l’ennemi qui sévissait au-delà des frontières d’Adrestia tout en mettant leurs vies en jeu. Oh, non, ce n'était pas mettre sa vie en péril qui attirait flèche. Ni, d’ailleurs, la possibilité de revenir avec toutes les gloires d’une campagne rondement menée. Si elle devait s’expliquer, elle dirait que l’envie de faire quelque chose de plus de sa vie la motivait à s’entraîner pour espérer se qualifier dans les premières lignes de l’armée, d’échapper peut-être au sort des jours répétitifs. Et elle le savait, la guerre reprendrait de plus bel une fois le cesser le feu terminé. Faerghus, Leicester et l’Eglise restaient leurs ennemis ; elle souhaitait être prête à les affronter le jour venu.

Ainsi, quand elle parvint à se libérer du temps dans sa journée, elle rangea ses outils de travail, arrangea une dernière fois les derniers documents à remplir sur le bureau puis quitta la pièce lui servant de lieu de travail, en fermant à clé derrière elle.

Cela faisait plus d’une semaine qu’elle n’avait pas remis les pieds sur le terrain d’entraînement. Son corps lui hurlait de se dépenser, de délier ses jambes et de frapper un mannequin avec sa lance. Flèche n’avait pour l’instant pas eu l’occasion de se renforcer auprès d’un véritable partenaire d’entraînement ; Randolph était trop occupé et les quelques soldats auprès de qui elle avait demandé ne se sont pas prier pour lui rire au visage face à son allure de gamine – jusqu’à ce qu’elle leur rappelle sa position et quel genre de rapport elle pouvait faire à leur compte. Quand bien même ils s’étaient excusés, cela l’avait démotivé pour aborder d’autres personnes et elle s’était résolue à continuer de frapper des mannequins.
Aujourd’hui, cela risquait pourtant de changer.

Alors qu’elle sortait du bâtiment administratif, son regard se posa sur deux silhouettes s’approchant d’un pas décis. Deux personnes qu’elle avait déjà eu l’occasion de rencontrer par le passé pour différentes raisons.
La première, une femme dans la trentaine, Adèle von Mehenliez. Une Capitaine de l’armée d’Adrestia servant sous les ordres de son beau-neveu Caspar et qu’elle avait rencontré à Fort Merceus avant d’être mutée à Enbarr – son beau-frère n’avait pas eu besoin de ses services, ayant déjà à disposition le personnel nécessaire pour s’occuper de son administration. Elle lui avait d’ailleurs promis de s’entraîner avec elle, mais les deux femmes ne s’étaient jamais recroisées depuis.
La deuxième personne, un jeune homme du nom d’Elio Albany. Messager de l’armée, lui et Flèche eurent l’occasion de se côtoyer dans le cadre du travail. Il avait laissé quelques impressions plutôt... déconcertantes. Non pas que la jeune fille le trouvait méchant, juste très étrange. Un peu lourd, aussi, à vouloir lui parler quand elle était clairement occupée avec tout son travail. Pour qu’Adèle et lui marchent ensemble vers son lieu de travail, ils devaient avoir un objectif précis qui relevait de son expertise. Elle pouvait bien leur accorder un peu de son temps.

« Capitaine Mehenliez, Elio, bien le bonjour ! » elle salua, s’inclinant cordialement face à eux. « Cela faisait longtemps que l’on ne s’était pas vu. Quel bon vent vous amène tous deux par ici ? »

Elle se redressa, un sourire poli aux lèvres.
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