Capricieuse • Malchanceuse • Débrouillarde • Dévouée • Généreuse • Énergique • Entêtée • Extravertie • Expressive • Franche • Loyale • Maladroite • Taquine

Stella en elle-même vous donne une raison de s'inquiéter. Étant capricieuse, il est impossible de savoir ce qui va se passer par la suite. Sera-t-elle la prochaine victime de sa propre malchance ou bien serait-ce vous ? Seul le temps vous le dira. Elle travaille pourtant d'arrache-pied pour ne pas se laisser abattre. Enfin, ce n'est pas comme si elle n'avait pas le choix, les représailles des religieuses sont un peu énervantes, dit-elle.

Non, Stella n'a pas vraiment besoin de votre aide et elle continuera de refuser jusqu'à ce que son ego arrête de prendre le dessus d'elle-même. Têtue et dévouée, elle préfère tout faire elle-même, non pas par manque de confiance envers les autres, mais bien seulement parce qu'elle veut se montrer utile et forte. Bien évidemment, certains événements vont la forcer à aller voir les autres.

Malgré tout, les gens du monastère savent qu'ils peuvent compter sur la générosité et le sourire angélique de la jeune étoile pour les faire sourire et leur redonner de l'énergie. Aussi brillante que le soleil elle-même, son énergie et son expressivité est aussi puissant que les rayons de soleil et vous donne cette petite dose de sérotonine dont vous avez besoin pour passer la journée. Il n'est donc pas rare de croiser Stella entourée de gens.

Ne pensez pas qu'elle est un ange pour autant. Derrière ce masque se cache l'être humain le plus mesquin qu'il existe. Je plaisante, enfin, presque. Malgré sa générosité, Stella est aussi une personne qui adore plaisanter et faire de mauvais coups même si à la fin, cela se retourne majoritairement contre elle-même.

Pour finir, vous savez que si Stella est de votre côté, c'est pour la vie. Extrêmement loyale, elle à une conviction de fer et il est très rare d'être en mesure de lui faire changer d'avis. Elle acceptera les différentes pensées de chacun, mais elle ne va pas pour autant les appliquer sur elle-même.



Cela faisait un moment déjà que tu étais consciente. Seule dans cette petite maison éloignée dans les montagnes d'Oghma, il n'y avait que toi et le temps.

Tu ne savais pas depuis combien de temps tu avais dormi. Tu te souviens que lors de ton réveil, tu étais perdu et confuse. Tu avais oublié, tout oublié. Tu ne te souvenais de rien, mais ton corps se souvenait cependant d'un doux câlin et d'une ambiance chaleureuse dans le chalet où tu avais dormi. Tu ne pouvais qu'insinuer que pendant ton sommeil, quelqu'un prenait soin de toi.

Tu ne savais pas qui, ni pourquoi cette personne n'était soudainement plus là.

Tu ne te souvenais peut-être de rien avant ton réveiller, mais tu savais que tu n'avais pas perdu tes compétences. Tu pouvais parler, tu pouvais lire, tu pouvais écrire, tu pouvais même plier ton linge. Alors, pourquoi tu n'étais pas en mesure de te rappeler ? Qui étais-tu ?

Tu ne te souvenais pas de ton nom, nulle part dans les livres entourant la pièce ne mentionnait qui tu étais et d'où tu venais. Ces livres parlaient seulement d'histoires fantaisies ou bien des choses pratiques de la vie comme « comment s'occuper d'un jardin ? » Ou bien « comment manier l'épée pour les nulles » Pourtant, il n'y avait aucune épée en vue. Tu insinuais donc que ce dernier livre allait être inutile pour toi.


Tu ne savais pas ce qui t'empêchait de t'en aller. Tu restais là chaque jour à te réveiller et à répéter la même routine chaque matin et soir. Peut-être était-ce la peur de l'inconnu ? Le fait que tu ne savais point ce qui se cachait au-delà des montagnes. Ou bien parce que tu espérais qu'une personne arrive à ton secours telle une princesse en détresse.

Tu ne savais rien de ta vie, tu ne savais pas si tu vivais avec quelqu'un. Si c'était le cas, tu préférais rester ici en sécurité jusqu'à son retour.

Mais si ce n'était pas le cas ? Que ferais-tu s'il n'y avait personne qui venait ? Que ferais-tu si en fait, tu avais vécu seule, ici, toute ta vie ? Tu ne le savais pas, tu ne savais rien du tout. Tu plongeais dans le néant et chaque marque faites sur le calendrier ne faisait que t'angoisser. Que ferais-tu ?

Tu pourrais très bien rester dans le douillet confort de ta maison à te croiser les bras et a espéré que quelqu'un vienne sans vraiment savoir si ce jour allait venir.

Ou bien, tu pouvais agir.


Tu étais effrayé, glacé et affamé.
Tu avais marché, marché et encore marché sans vraiment arrêter.
Tu ne savais pas où tu étais, combien de kilomètre tu avais fait ni combien de jours sont passés.
Tu avais arrêté de compter.

À bien y penser, tu aurais peut-être dû rester là. Tu aurais dû rester à l'abri à écouter les aiguilles de l'horloge tourner encore et encore. Au moins, elles te donnaient un sens du temps.

Tu ne sentais plus tes doigts ni tes pieds.
Si seulement tu t'étais souvenu ce jour-là.
Si seulement tu n'avais rien oublié ce jour-là.
Si seulement tu ne t'étais pas réveillé ce jour-là.
Tu n'en serais pas là.


Le bruit de l'horloge était de retour, mais celle-ci semblait différente. Tu n'avais pas peur, tu n'avais plus mal. Tu te sentais si bien, si réconforté. Étais-tu en train de rêver ?

— Comment te sens-tu ?

Une voix venait soudainement te retourner à la réalité. Elle était-ci douce et calme, c'est comme si tu perçais dans un petit nuage. Tu ouvrais tranquillement les yeux pour observer la silhouette devant toi. La dame était si jolie, si majestueuse, tu avais l'impression d'avoir devant toi une déesse. Tu observais par la suite la pièce où tu te retrouvais. Tu n'étais pas de retour dans ton endroit habituel, tu étais ailleurs.

— Où... Où suis-je ?

— Tu es présentement au monastère de Garreg Mach. Les chevaliers de Seiros ton retrouvé sans connaissance à quelques kilomètres d'ici. Que faisais-tu toute seule dans les montagnes d'Oghma ?

Tu voulais répondre, mais tu ne savais pas quoi dire. Tu aurais aimé lui répondre, mais même toi, tu en avais aucune idée. Tu étais autant dans l'ignorance que la jeune dame devant tes yeux. Elle semblait avoir compris suite à ce long silence et n'allait pas te bousculer davantage. Cependant, elle osait une dernière question.

— Te souviens-tu de ton nom ?

Un nom. C'était quelque chose qui se donnait à un enfant par ses parents lors de sa naissance. Tu te doutais avoir des parents, tu ne serais pas ici si cela n'était pas le cas, mais un nom, est-ce que tu en avais un ? Mystère, tu ne pouvais t'en souvenir.

Tu secouais la tête.

Un moment de silence pris sa place, mais fut rapidement brisé par la demoiselle qui occupait la pièce avec toi.

— Que penses-tu de Stella ?


Ce nom résonnait si bien dans tes oreilles. Tu ne savais pas pourquoi, mais ton cœur était soudainement tout chaud. Ton nez te piquait et puis tes joues étaient humides. Les yeux pleins d'eau, les larmes ne pouvaient s'empêcher de couler les unes après les autres le long de ton visage de porcelaine.

Tu étais heureuse.
Tu ne pouvais t'empêcher de pleurer.
Tu avais enfin un nom.


À ton arrivée, les gens du monastère ne connaissaient ni ton âge ni d'où tu venais. Se basant sur ton apparence, ils ont donc assumé que tu avais dans les alentours de 12 ans. Un âge si bas pour être seule dans les montagnes. Quelques jours suivant, une équipe de chevalier avait été envoyé pour tenter de retrouver la maison d'où tu venais ainsi que quelques indices pouvant mener à ton passé, sans succès. Tout ce qui restait du bâtiment était des cendres et un potager saccagé.

Ils ne pouvaient pas te laisser seuls. Elle, refusait de te laisser seule.

Étant occupée, la dame t'avait confié à une des religieuses du monastère pour s'occuper de toi, t'élevant par la suite avec ces morales et convictions, comme une maman le ferait avec son propre enfant. Tu étais pour toujours reconnaissante envers la femme qui t'avait prénommé ainsi que la jeune religieuse qui s'occupait de toi et t'apprenait tout sur le monde. Un monde qui, jusqu'à présent, t'était inconnu.

Tu grandissais petit à petit au côté de gens formidables. Tu te sentais enfin comme chez toi, entouré d'une grande famille. Tu oubliais petit à petit que tu avais derrière toi, un passé qui t'était encore inconnu, préférant vivre dans le présent entouré des gens que tu aimes.

Tu repensais tout de même à ce fameux jour. Le jour où tu avais enfin décidé d'aller de l'avant et de quitter ta zone de confort. Au tout début, tu pensais à un coup de chance. Tu pensais avoir été là au bon moment, mais ta croyance avait changé. Ce n'était pas que du pur hasard. C'est elle-même qui en avait décidé.

La grande déesse.


Il n'y avait plus aucun bruit, tu ne pouvais plus rien entendre. Pourtant, c'était le chaos. Le bruit des lames, les cris de guerre, tout faisait rage, mais tu ne pouvais rien entendre. En fait, tu ne voulais rien entendre.

Tu ne voulais pas te rendre compte que ce que tu voyais de tes propres yeux n'étaient pas un rêve, que tout ceci était bien la réalité. Ton petit paradis, ton coin de réconfort, en ruine. Tu souhaitais désespérément que ceci n'était qu'un autre de ses cauchemars que tu faisais de temps en temps. Cependant, tu avais beau te pincer le bras, tu ne semblais pas en mesure de te réveiller.

Lorsque la guerre avait éclaté, tu te retrouvais au monastère, mais tu avais réussi à trouver refuge avec quelques religieuses. Tu maudissais ton manque de pouvoir, ton manque de force. Ton impuissance face à ce drame te faisait bouillir le sang. Tu ne voulais pas rester sur place, tu voulais agir, comme la dernière fois. Cependant, les chances que tu t'en sortes indemne cette fois-ci étaient nulles.

Tu restais donc là à prier, en souhaitant que le temps allât enfin s'arrêter et que l'aiguille s'arrête de bouger.

Résumé:

Merci beaucoup pour les modifications !
Quelle mignonne pépétte que voici ! Il me tarde de la rencontrer en rp, elle est si
Maintenant que tu as valeureusement passé l’épreuve de Sothis, tu es en passe de pouvoir pleinement profiter de Fodlan pour y déambuler.

Par la suite tu seras libre d'ouvrir ta fiche de liens, ta boîte aux lettres et de rechercher un partenaire pour te lancer dans le RP !

Etant en mode débutant, je t'exempte de statistiques et tout le tralala, tu n'en n'auras pas besoin ! En attendant, vadrouilles bien en terre de Fodlan !