CARACTÈRE
il se lève avec le soleil et l'incarne à merveille, à obnubiler - véritable tempête sensorielle. monde peut bien s'essayer à le temporiser. pour prospérer nature se plie à lui, s'interdit de tacler ses idées reçues ou s'épuise à - sous prétexte qu'il faille laisser aux naïfs intact leur optimisme.
il y a vérité a penser qu'il ne supporterait pas certaines réalités - lui qui s'évite en lui-même un trop d'introspection, trop insistant à jeter tout ce qui pourrait en négatif l'influer avec violence excessivement vile, sagace pour être saine. il est nuisible de le laisser tel quel il le sait. enfant insupporté traite d'une dichotomie cruelle sans un second regard. c'est tout ou rien pour caspar.
c'est lui qu'on doit trouver sur ses pieds le lendemain, qu'en face soit ami du passé ou gredin. toute compassion qu'on lui trouve hors de la bataille s'écrase pour l'adversaire - au mieux tend au respect et l'esquisse assurée, au pire à l'acharnement virulent quitte à de sa force dévisager. il s'arroge la violence comme un jeu, descend et mesure ce qu'il peut.
le mot justice l'aveugle, lui permet pernicieux comportements en son nom. simplicité qui le dépeint l’emmêle, détruit toute subtilité, toute raison : parce que mal n'a droit d'être que s'il l'extermine. valeurs qu'il porte au coeur sont poids lui dictant ce qu'il y a de meilleur. elles font de lui pièce permissive sur terrain désobéissante à tout bout de champ, lui vaut que de lui on médise car trop guidé par ses sentiments.
ailleurs, on lui admire l'esclaffe qu'il s'arrache, haute en couleurs - l'éclat à l’œil, prêt à bout portée distribuer bonne humeur. il s'imbibe des autres avec la transparence volontaire, partage flatté que son aide sert. aux yeux des autres il s'érige détaché n'ayant de compte à rendre qu'à son reflet. dans les faits, c'est mentir que dire que c'est toute entière vérité. s'il veut être fort, il faut qu'on le voie, s'il veut qu'on compte sur lui, il faut qu'on le croie.
caspar a la fièvre de la vie, l'entêtement et l'embrasement dans tout ce qu'il entreprend. pour prouver qu'il puisse servir, s'asservit sans une seconde démentir. son inhibition nulle l'éprend à la bringue excessive, la bravoure insidieuse, l'assurance maladive. se veut force puîné qu'on puisse admirer, sublimer, sans l'once d'embarras aspire ouvertement à être aimé pour qui il est.
___
tldr :
il pense qu'il est : redoutable ; communicatif ; bosseur ; serviable ; positif ; violent à raison ; loyal ;
mais aussi qu'il est : orgueilleux ; puéril ; compétitif ; obsédé par ses objectifs ; irréfléchi (du moins comparé aux autres) ; adhérant à la pensée que le plus fort aura au bout du compte raison ; pas aussi insensible au regard des autres qu'il n'aimerait le croire ;
en vrai il est truculent ; actif ; audacieux ; indomptable ; déterminé ; tempétueux ; bienveillant ; entier ; démonstratif
mais aussi indélicat ; extrême ; nigaud ; téméraire ; braillard ; lourd ; imprévisible ; borné ; susceptible ; impatient
HISTOIRE
son corps une chronologie, une histoire - dont il connaît chaque rempart, chaque départ. cicatrices coups de maître d'autres à lui, preuve qu'il survit lui marquent la chair, la mémoire. caspar les compte lorsqu'il conte aux plus jeunes ces chants épiques de bataille et entrevoit leurs regards pleins d'espoir. ça ne compte pas d'embellir si c'est pour voir leurs bouilles s'ébahir. enfant lui-même s'extasiait le soir à l'écoute de ces écrits dans le noir, la comtesse la voix berceuse contait doucereuse les mythes et déboires grossièrement simplifiés de son père dans le passé. lumières tamisées par les bougies en pleine soirée, sa mère à son chevet amoureusement lisait, l'en faisait avide d'aventures et d'exploration - de violence et de projection. on écrivait à propos du ministre de guerre, l'un des rares piliers de l'empire à garnir noblesse par son hardiesse et non grâce à force accrue qui prolifère par d'un emblème en être doté.
c'est l'homme qui a fait qui il est et la raison
qu'il s'est retrouvé sous l'étendard d'une nation dont il ne défend pas plus le système que ça, non.
il n'y a aucune vergogne à s'identifier von bergliez avant d'être caspar, car caspar est von bergliez avant qu'on lui assigne un prénom - puîné avant qu'il décide s'il est en accord oui ou non. alors non l'ironie de ses propos, parti à l'académie pour se rechercher pour finalement trouver sa place dans un cocon où il fut bercé, ne l'échappe. part de lui s'éparpille, se dit qu'il y a certainement attentes sur son dos qui lui font céder sous le poids, plier le genoux pour remercier de l'avoir logé nourri, gardé quand famille avait déjà un fils aîné qui allait presque de tout s’emparer.
et son frère est tout ce qu'il y a de délétère. non de caspar la présomption qu'il puisse être alternative à son aîné, oh non. le sang à nature le laissant circonspect n'est raison de s'induire adversaire à son frère, du puîné l'objectif son bonheur - et ce, du coeur. pour caspar impossible d'affronter le sang de sa chair, surtout s'il s'agit de ministre de guerre, un monstre parmi les hommes qui aurait contre lui la dévergondée hargne qu'on tient aux traîtres, insatiable - infernale.
on grandit à se faire des raisons, ce sans quoi l'empêcherait de s'épanouir à cause de ses choix cognitive dissociation. s'il saurait défendre ce qui importe à ceux qui l'importent - loyale piété attendue à part, tout ça détaché de sincérité de la gratitude à son égard - c'est suffisant. il y donnerait son maximum - comme à tout.
c'est son atout.
__
fin 1180les mots de la princesse résonnent avec d'elle le regard ardent. et il se rend compte qu'il ne l'a jamais connue vraiment. second à ses côtés, d'autres hommes avec elle l'arrivée - l'ordre de la tombe sacrée tout les recoins piller. elle a la décence, l'audace d'énoncer que de ceux nés sous les flammes la couleurs n'ont à subir son courroux - que tout autre obstacle à cette permission viendra son sang s'écouler son son joug.
comme tous, bergliez est saisi de la défiante confusion, le déni authentique - dans son ton une mauvaise blague l'anticipation. dans ce lieu saint, princesse n'est plus et puîné face à elle n'est plus rien.
impératrice trouve adversité immédiate de membres de l'église - malgré ses prouesses d’infiltration, se trouve dos au mur et forcée à disparaître de leur champ de vision. il ne reste d'elle que le souvenir hantant les jours à venir.
évidemment il reçoit des lettres à en craquer de la maison sa mère. de son frère qui a edelgard porte à la fois amertume et distinction. on lui annonce que son père a le parti de la nouvelle impératrice couronnée.
__
fort merceus est ville forteresse de grandeur inestimable, dite inexpugnable - véritable atout en temps de guerre car protégeant l'entrée à embarr de potentielles invasions de l'est. résidence des bergliez est quant à elle au centre-ouest de celle ci, à la fois base militaire pour ses soldats et lieu de vie du comte et sa cour. à la tête ce tout, son père - comte du territoire depuis 1168, rôle délégué à contre coeur par son grand père qui préférait sa seconde femme et les enfants qu'il eut avec cette dernière. père de caspar était déjà à l'époque ministre de guerre.
dire que territoire vit de pèche et d'agriculture semble difficile à croire lorsqu'on voit comment se blindent les murs de la ville et des habitations en étant au coeur - nature à côté l'entourant est en décalage tant que c'en est perturbant. seule la capitale est ainsi le reste du territoire ressemble d'avantage aux plaines de gronder qu'ici
à croire que tout se mesure en excès, le territoire lui-même, la ville forteresse, coeur des bergliez la maison n'échappe pas à la règle, ça se sait.
partie résidentielle s'étalait sur deux étages et manifeste pour les nombres incalculables de couloirs, une salle de réception qui n'avait envier à personne, des cuisines s'étalant en large et des chambres d'un grand confort. la décoration toujours tenue avec hardiesse par de sa famille les goûts prononcés, il pouvait citer des bêtes de chasse empaillées dans des tableaux qui faisaient de son père une particulière fierté. un cerf notamment dont des bois la forme s'élevait à la taille de certains chandeliers. les couleurs dans des tons toujours chauds, les rideaux aux textures et aux noms compliqués.
la caserne occupait elle même deux étages, mais l'atmosphère y était tout autre. elle était liée à la partie résidentielle par deux distincts couloirs à la pierre d'odeur de sang séchée feinte. les lieux en sont pratiquement dénudés en comparaison mais entretenus - au minimum et au nécessaire. la richesse se trouve dans des armes la qualité, dans le soin apporté au matériel d'entretien de ses dernières. l'hangar de stockage en lui-même est quelque peu vieillot et les étagères en composant auraient besoin de rafistolage. les boxes ne sont pas aussi nombreuses qu'au monastère mais tiennent bien bêtes, pégases, chevaux et wyvernes dont la santé sont au coeur de leurs propriétaires. quant aux chambres "sobre" convenait à décrire leur état.
il s'attendait à ce que ce soit plus sinistre lorsqu'il rentra au bercail, mais au contraire. c'était comme si s'était éveillé l'entièreté des résidents. après des années de peu d'action, certainement, l'orgueil n'a jamais été aussi inscrit sur de son père le visage que lorsqu'il entendit au poste de comte sa nomination. il fallut à caspar quelques jours pour remarquer que manquaient un bon nombre de soldats à la caserne - de son gré y mettant le pied pour son entraînement continuer.
temps s'écoule - soluble - se dilue un jour de fête, de victoire. le siège du monastère un succès. discours se tient en liesse - on s'écrie au nom d'un empire plus puissant ne répondant plus à de la déesse la messagère aux faux semblants. on dit que se prépare l'inscription de chacune des personnes ici présentes ici dans de fodlan l'histoire. on dit qu'attendent leurs plumes de leur ennemi le sang pour s'y voir.
__
1181"good lord god almighty, I know that you are a good person, but the last thing you need is some other sign from heaven that you are special." - an absolutely remarkable thingl'obtention de son diplôme étant mise en péril par des dernières lunes les évènements, caspar s'insère aux yeux de l'armée au fort merceus comme simple soldat premièrement. on le réquisitionne lui et d'autres soldats du fort pour aider sur l'un des fronts au nord - pousser dans leurs retranchements le royaume. les premières lunes ressemblent beaucoup à celles de l'académie, avec des missions pouvant durer des jours durant. se comptent les vraies batailles à son gabarit et les victoires aussi, de quoi garantir qu'il soit méritant. on l'assène de blessures à l'en faire presque crever. compensant caspar se fait moins bavard apprend d'erreurs à moins de sa vie laisser.
il crie toujours aussi fort - mais sa voix braille en véritable effort. on sait quand il manque ou quand il a disparu - courant après ennemi qui de ses jambes fuir a cru. plus que n'importe qui quand de bataille il est question se montre impitoyable garçon. et il se fait remarquer, prend des risques incommensurables par vertu et désir d'annihiler. on s'essaie à le contenir - mais il persiste par simple désir, comme une insulte au contrôle de soi.
on le reconnaît plein d'audace, lui claque le prix de ses choix dans la face. l'attitude est un souci qu'on lui force à ravaler, car ses supérieurs il faille écouter. caspar davantage baisse la tête, s'y fait - jusqu'au nouvel écartement où il réitère son comportement.
on médit facilement l'académie, maison de l'archevêque déchue à son image n'est plus. ce si même tête de l'empire et ancienne élève les mène tous d'expertise accrue. il n'est pas peu courant que sur lui on crache - sous prétexte que niaiserie diffame l’entache ou qu'il agisse trop à l'arrache. et il a trop de pudeur pour user de son nom l'argument d'autorité, se fait comprendre à combats puérils commencer.
ça ne l'enfonce que davantage lorsque edelgard passe l'ordre de l'élever à général de division.
d'impératrice la décision car ses preuves sont fondées au nombre de victoires à sa ceinture.
si en lui si solidement on croit, ça ne sera pas lui qui décevra.
__
1182d'être un héros il était certain - du moins, au moins d'en devenir un. il y a ces fois où il désavoue ces désirs - pour ne pas s'imaginer le pire : qu'avec ses projections rapport il n'a aucun.
pacte d'agression survit ainsi - se chante d'empire les hommes et d'église qu'on maudit. toute opposition est demandée à se rendre avant de les écraser. il ne s'y est pas fait - car part de lui croit que justice se crée des plus forts la volonté. et il voulait le devenir pour se l'octroyer.
"si nous nous refusons à l'échange à la moindre frustration, que dira-t-on de nous? que nous ignorons le dialogue et sommes des tyrans au potentiel peuple de notre nation?"
"
on s'est déjà montré présents et capables de leur offrir notre aide, leurs représentants ont fait sourde oreille et ont refusé de montrer moins d'hostilité."
l'état est délicat pour les tout récents voisinages adhérant à l'empire - qui sous l'influence de résistants viendraient à pourrir. il subit lui-même d'ordres de se débarrasser de ce qui file trop fil à retordre.
"
ils auront ce qu'ils cherchent. faites envoyer l'ordre de préparer les cargaisons."
"s'il vous plait, reconsidérez votre décision - et s'ils vous attendent, et si vous mordez à l'hameçon?"
les chevaliers n'ont au coeur que leur honneur. survivre de la vertu est un luxe que peuvent se permettre que les plus forts. les autres sont, seront comme les seigneurs de ce fort - pour leurs convictions morts.
__
1183elle a survécu comme un corps sous des autres entaché, les larmes pleines aux yeux et au nez. et elle pleure elle pleure à n'en plus pouvoir à n'en plus vouloir. elle n'a pas la voix, en débris parce que force elle n'a pas. elle le hait de toutes ses forces de tout son corps, de toute sa sueur.
quand il sent dans sa côte douleur de la dague, il ne réfléchit pas et dégage agresseur d'un coup dans
...la nuque?
mais c'est trop tard, inutiles sont ces déboires - appeler des soigneurs est vain. il persiste comme à sa nature, s'éclate dans une scène - se donne à voir à ses hommes. elle a l'air si jeune l'age d'une des toutes petites à la maison.
victoire ce jour là sonne à déraison.
__
1184il se croit certainement assez redoutable d'affronter l'ennemi sur tous les plans. l'empire érigé tant en état fort qu'il apprit à croire comme plus capable qu'à raison. et à l'entendre c'est l'optimisme tordu jusqu'à l'idéalisation. enfin, ses ardeurs sont tues pour ne lancer de débat - parce qu'il faut se tenir à minima à propos de - il n'a pas très bien compris - quoi qu'il soit qui l'attendent.